Témoignage - Acné sévère, les solutions naturelles
Bonjour ! Aujourd'hui je partage avec toi ma rencontre avec Jessica qui est Psychothérapeute et Coach de vie.
En effet Jessica, au travers d'approches naturelles à pu se sortir d'une acné sévère grave qu'elle a déclaré à l'arrêt de la pilule Diane 35. Elle nous livre aujourd'hui ce qui a pu l'aider a éradiquer ce problème qui l'avait coupé du monde pendant une année...
LE BLOG DE JESSICA : http://je-cree-mon-equilibre.com/
LE SITE DE JESSICA : http://sophro-analyse-94.com/
Dépendance à la diane 35 mon parcours
J’ai pris la pilule diane 35 de 14 à 30 ans. C’est mon dermatologue le premier à me l’avoir prescrite lorsque j’étais une toute jeune ado pour quelques boutons. Une première ordonnance de 6 mois à renouveler. Aucun contrôle ni avant ni pendant mais des prescriptions automatiques tous les ans.
Évidemment à cette époque j’étais naïve et innocente, ce qui m’importait à moi c’était de ne plus avoir de boutons, j’habitais à la campagne, internet n’existait pas, la plupart de mes copines avaient le même traitement et tout le monde faisait confiance aux médecins.
20 ans : épisode 1
Vers la vingtaine j’ai voulu arrêter, je commençais à m’ouvrir et à m’informer sur différents systèmes de santé parce que j’avais beaucoup de problèmes et que malgré que je passais de médecins en médecins j’allais de plus en plus mal.
Après peut être un mois d’arrêt j’ai commencé à perdre mes cheveux par poignées et tout au long de la journée. Il n’y avait pas un moment ou mes cheveux tenaient sur ma tête, ça tombait sans arrêt, j’avais la peau et le cuir chevelu extrêmement gras malgré les lavages mais surtout cette chute vertigineuse de cheveux.
Je passais de mon médecin à ma gynéco et tous deux tenaient le même discours, il fallait reprendre la pilule pour contrer le dérèglement, il fallait un soutien hormonale à toutes les femmes, c’était comme ça et pas autrement, y’avait rien à faire!
Après 3 mois d’arrêt, dans la panique totale car la chute ne s’arrêtait pas et que je pleurais tous les jours persuadée de finir avec le crane chauve sous peu, j’ai finalement repris cette pilule en urgence plus qu’encouragée par ma gynéco évidemment qui prônait les raisons contraceptives indispensables dont j’allais avoir besoin, l’équilibre hormonale et la tranquillité.
Quelques jours seulement après la reprise, plus de chute. Rassurée et emportée par la facilité, je venais de remonter dans le train pour 10 ans sans le savoir.
Ma camarade Élodie a subi les mêmes dommages et s’en est sortie elle aussi par la voie naturelle, elle vous raconte son parcours ici.
30 ans : arrêt définitif de ce poison
Pendant 4 mois rien à signaler si ce n’est des bénéfices incroyables:
- Dégonflement spectaculaire ( je n’avais pas pris de poids mais je faisais visiblement beaucoup de rétention d’eau sans en avoir conscience)
- Poitrine beaucoup plus souple, plus confortable (javais mal aux seins en permanence, ils étaient hypertendus,gonflés tout le temps)
- Libération de la contrainte et de la pression psychologique que la prise quotidienne d’un médicament occasionne.
Si jeune et déjà sous emprise chimique, mon activité hormonale naturelle mise en suspend des années je ne connaissais finalement pas mon corps dans son fonctionnement naturel!
Après 4 mois, le cauchemar commence :
Des boutons énormes (papules,pustules,comédons) me couvrent la moitié du visage, tout le cou,le décolleté et le dos. plus de règles (c’est un soin énergétique qui libéra mon cycle après 8 mois)
Une mine chiffonnée, une peau terne , des cheveux plats, aucune énergie, la déprime totale, je me sentais en rétention de tout un tas de choses, polluée,intoxiquée, je ne me reconnaissais plus, défigurée par tous ces boutons très douloureux, je n’avais même plus d’ovale du visage à un moment tellement ma peau était boursouflée par ces monstres sous cutanés.
Chaque jour il en sortait d’autres, chaque jour j’étais un peu plus à plat physiquement et moralement, tout mon corps était déphasé,perturbé et c’était émotionnellement très dur de supporter le regard des autres. Je n’avais jamais eu de boutons, au contraire on me complimentait toujours sur ma peau, mes cheveux et du jour au lendemain je n’étais plus moi. Les gens curieux regardaient mes boutons lorsqu’ils me parlaient au lieu de me regarder dans les yeux ( oui ça se voit vraiment quand on fait ça! ) et je sentais bien que le discours de ceux qui essayaient de me rassurer était branlant.
Ça peut paraitre superficiel mais ça ne l’est pas, lorsque l’intégrité physique est touchée c’est un traumatisme et ça à de répercussions dans tous les domaines (estime de soi, vie sociale, vie de couple, intimité, harmonie intérieure..). Dans une société ou le poids des apparences pèsent sur tout le monde quoiqu’on en dise, c’est encore plus dur lorsque l’on souffre de désagréments visibles. Cela dit, mon empathie a grandit et je mesure bien mieux maintenant ce que peuvent ressentir certaines personnes dont l’apparence est troublée.
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Et si cela t’intéresse, voici le livre du Layering "Secret de beauté des Japonaises" dont parle Jessica dans son interview, qui lui a été d'une aide précieuse dans sa démarche pour retrouver une peau saine au naturel !